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Éothain Red ♦ I will not say, do not weep, for not all tears are an evil.

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Éothain Red
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Message Sujet: Éothain Red ♦ I will not say, do not weep, for not all tears are an evil. Éothain Red ♦ I will not say, do not weep, for not all tears are an evil. EmptyMar 31 Mar - 16:33




Éothain Red

feat. Dustin Clare


©️ Red Pants
33 ans •  Fils bâtard & capitaine de la garde • Célibataire • Rohan

♦️ Éothain est un bosseur, il ne ménage jamais ses efforts pour parvenir au but qu’il s’est fixé. C’est sans aucun doute dans le but de prouver aux médisants qu’il mérite la place que lui a offert au sein de sa famille et de la garde par la suite.
♦️ Le Rohirrim craint l’affection et surtout de s’engager à vie avec une femme respectable qui devrait subir les moqueries dû à sa naissance. Il fait d’ailleurs tout pour déplaire aux dames qui sembleraient éprouver quelques débuts d’affection pour lui.
♦️ Malgré des distensions avec certains de ses demi-frères et sœurs, il sera toujours le premier à leur venir en aide ou à se sacrifier pour eux s’il le peut. Il a d’ailleurs tenté de le faire avec Théomer, mais un bâtard dans la garde royal, ça ne se fait apparemment pas.
♦️ Il est l’un des plus fins cavalier de sa région, un don qu’il hérita de son géniteur en plus de tout le reste. Pendant un temps, il raillait même ses deux aînés en les voyant retomber lourdement quand lui pirouettais sur le dos de son cheval.
♦️ Pendant un temps, Éothain quitta le Rohan pour le Harad. Là, il décida de tenter sa chance dans les arènes de combat. Il possède de nombreuses cicatrices qui lui rappellent cette époque pas si lointaine et l’appel du sang. Souvent, il ressent le besoin de retourner là-bas pour exercer à nouveau cet art du spectacle de la mise à mort, ainsi que le besoin de laisser s’exprimer sa rancune envers les médisants à travers son côté violent.
♦️ Le Rohirrim est toujours très proche de sa mère qui ne travaille plus à Méduseld désormais, mais pour une famille de plus petite noblesse qui la traite bien, son père y veille. Régulièrement, il lui rend visite pour lui donner une partie de sa paie de capitaine de la garde.
♦️ C’est ce qu’on appelle communément une grande gueule et il a encore plus de mal à la fermer lorsqu’il est ivre, ce qui arrive fréquemment, car malgré sa carapace, Éothain est parfois encore blessé de ce qu’on dit de lui, surtout si cela vient d’un membre de sa famille.
♦️ Bon vivant, il aime arpenter les bordels des cités dans lesquelles il se rend. Pour ce qui est de ses partenaires de jeu, homme ou femme font l’affaire.
   


Derrière le pc

Mon pseudo est Vox Clamantis, mais Adeline est mon véritable prénom. J’ai vingt et un ans et je suis également votre fondatrice.  Éothain Red ♦ I will not say, do not weep, for not all tears are an evil. 3026783278   J'essaie d'être présente tous les jours, mais je suis également étudiante en FAC d'Histoire, donc par moment je suis beaucoup moins là. Sinon, je suis toujours dispo pour mes membrichous et j'espère qu'on s'amusera tous comme des fous!

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Dernière édition par Éothain Red le Mar 21 Avr - 0:18, édité 8 fois
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Message Sujet: Re: Éothain Red ♦ I will not say, do not weep, for not all tears are an evil. Éothain Red ♦ I will not say, do not weep, for not all tears are an evil. EmptyMar 31 Mar - 16:42




Behold, the Bastard


Chapitre premier:

the bastard son

Tu n’étais rien de plus qu’une bouche supplémentaire à nourrir au sein de cette famille de simple gens d’Edoras. Pire encore, ta mère n’avait ni mari, ni fiancé lors de ta naissance, ainsi dès ce jour et probablement jusqu’à ta mort, tout le monde t’appelait : le bâtard. L’on ne pouvait se passer de la paie de ta mère travaillant aux cuisines de Méduseld. Alors, c’est avec toi chargé sur son dos, qu’elle s’en alla travailler quelques jours après sa délivrance. C’est probablement la vie que tu aurais dû mener jusqu’à la fin, une vie de servitude, sombre et désagréable, sans reconnaissance, mais la chance t’as souris et pris dans ses bras. Il posa les yeux sur toi, ce grand homme fier, ce gouverneur au sommet de son art. Tu n’avais alors qu’un an à l’époque, mais dans ton regard il retrouva le sien et fit parler ta mère au sujet de ton géniteur. Ce fût aisé, elle n’avait pas connu d’autres hommes que lui. Il aurait pu te laisser dans cette sale cuisine à ton destin de bâtard et d’enfant du petit peuple, mais il fit tout l’inverse. Le lendemain de cette discussion, c’est avec tes maigres affaires que tu rejoins la grande porte de Méduseld et que ta mère plaça ta petite main dans celle de la femme qui serait désormais ta gouvernante. Les yeux pleins de larmes, tu regardais s'éloigner la femme qui t'avais donné la vie, ainsi que ton prénom et à qui dans les temps futurs tu donnerais des ordres. Les premiers temps furent difficiles, se retrouver entourer d'enfants que tu n'avais jusqu'alors vu que de loin gambadant dans les couloirs, tu devais désormais les considérer comme tes frères et soeurs. Le plus âgé avait trois de plus, la plus jeune quelques mois de moins. Les premiers jours, tu restais à l'écart, cherchant vainement à t'échapper de ta cage d'or pour retourner aux cuisines, tu pleurais seul la nuit dans le grand lit qu'on t'avait gracieusement attribué. La porte s'est entre ouverte, puis refermée, les draps ont bougé et une poigne forte enserra sa main et la voix familière du plus âgé se fit entendre pour te rassurer que tu n'étais pas tout seul. Depuis ce jour, Théodred est devenu réellement ton frère et un modèle.


Chapitre deuxième:

Tears and awakening

Un modèle, mais peut-être pas toujours le bon, c'est ce que tu te disais parfois lorsque la voix tonitruante de Théotred raisonnait trop fort à tes oreilles après une série de bêtises commissent avec l'aide de Théodred, Théomer et Ellinde. C'est très souvent crasseux jusque dans la racine des cheveux que vous étiez tous congédié dans vos chambres respectives ou encore puni de devoir supplémentaire. Cependant, tu n'avais pas ton pareil pour échapper à la vigilance de tes geôliers et aider les autres à faire de même. Vous étiez lié comme les doigts de la main, mais cela ne dura que les sept premières années. Il ne faut jamais sous-estimer les enfants et encore moins ce qu'ils sont capables de comprendre. Théomer fût le premier à te tourner le dos et te nommer bâtard devant les autres, à te repousser et même à entrer en compétition avec toi. Malgré la protection de Théodred, ces mots prononcés par ton aîné te blessèrent au plus profond de ton être. Tu pensais avoir gagné ta place au sein de ta demi-famille, mais il n'en était finalement rien. Cette nuit-là, l'enfant intrépide chercha à fuir une fois de plus ce monde qui ne semblait pas être le sien et ce ne fût pas l'aîné qui l'arrêta, mais son père. La discussion père-fils dura jusque tard cette nuit-là au coin du feu de la salle d'or. De ces confessions et conseils naquirent ta volonté de te dépasser, de prouver que tu valais mieux, que ce que les gens pensaient et penseraient toujours de toi et ce peu importe le nom que tu porteras. Fait de ce que tu es une armure et personne ne pourra s'en servir pour te blesser. Lorsque tu regagnas ton lit cette nuit-là, tu juras que si Théomer voulait la guerre, il allait l'avoir. Dès le lendemain, se lança la grande compétition entre vous, si le plus âgé prenait ça à coeur, tu en riais intérieurement. Il entrait dans ton jeu, désormais tu étais maître de ta vie, de ton destin et de ton nom. Qu'il t'appelle encore le bâtard et tu répondrais en conséquence. Plus jamais tu ne pleureras pour ce surnom, tu te l'approprierais et un jour peut-être qu'il sera scandé par la foule.


Chapitre troisième:

When love breaks down

La porte de l’adolescence s’ouvrait ainsi à toi pleine de promesse et de possibilité d’avenir. Ton ambition : devenir un bon guerrier. Déjà, tu te démarquais des deux enfants légitimes du gouverneur par une habilité et une facilité à cheval qu’ils ne possédaient encore et qu’ils ne posséderaient jamais à ton niveau. Combattre à cheval devient au fil du temps une seconde nature, au point que beaucoup disaient que tu passais plus de temps en selle que les deux pieds sur terre. À quoi bon de toute façon avoir les pieds sur terre, il n’y a rien de bien dans la poussière. Sur le dos de ton cheval, tu pouvais conquérir ta liberté, être un grand seigneur comme un simple paysan. Sur le sol, tu redevenais le simple humain, le bâtard. Avec l’adolescence vient aussi les grandes tragédies de la famille Gamedras, à commencer par la mère des enfants légitimes. Quelle joie ce fût que d’apprendre une nouvelle pour tous les enfants Gamedras et même pour toi, ce malgré le dégoût que tu inspirais à Lady Gamedras. Une autre sœur vit le jour, mais le jour de liesse se transforma en cauchemar lorsque la journée suivante, la mère décéda. Le bébé, lui, était en pleine santé, mais aucun de ses frères et sœurs ne lui accorda plus la moindre attention, vivant ce drame comme étant la responsabilité du nourrisson. Tu ne compris pas, non même du haut de tes quatorze ans, tu ne comprenais pas que Théodred, celui qui t’avais toujours protégé, ne puisse pas voir en sa petite sœur la véritable victime du drame. Comment un bébé pourrait-il être un meurtrier, alors qu'il n'a déjà pas choisi de naître. Une nuit calme où Eohild s'époumonait dans sa chambre, tu quittas la tienne pour rejoindre le nouveau-né. Hésitant d'abord, tu saisis cette petite chose rose remuante et hurlante dans tes bras pour la consoler. Au matin, la nourrice te trouva endormi dans le fauteuil, le bébé serein endormi au creux de tes bras. Cela ne devait être que le début d'une belle alchimie avec la petite blonde, mais également la fin des combats avec Théomer, tu avais désormais un rôle de grand-frère à assumer que les autres ne semblaient pas vouloir. Ce ne fût aussi que le début des catastrophes. L'année suivante se présenta le fiancé d'Ellinde, un homme bien plus âgé, mais au visage qui inspirait respect et confiance. Il la rendait heureuse, cela tout le monde pouvait le voir et malgré la perspective du départ de la blonde pour devenir la future reine, tout le monde se prit d'affection pour son futur époux. Hélas, le destin est cruel et Ellinde quitta bien Edoras, mais pour épouser le roi et devenir probablement la femme la plus malheureuse du royaume. Théomer quitta la fratrie quelques temps après pour devenir garde royale, une manoeuvre habile du paternel pour aider leur soeur, mais également pour lui assurer un bel avenir. Ne restait au final de cette fratrie soudée que Théodred, Eohild et toi... Un destin misérable pour un jeune homme à peine entré dans l'âge d'homme.


Chapitre quatrième:

God of the arena

Lorsque ta vingtième année sonna, le monde n'était déjà plus pareil. Tout autour de toi se préparait à l'avenir de l'héritier Gamedras, Eohild avait grandi et devait passer son temps à étudier. Pour toi, l'avenir ne s'annonçait pas aussi riche que le leur, de toutes façons, dans ce monde, à quoi peut réellement aspirer un bâtard ? Alors, avec la bénédiction paternelle, tu as pris la route dans l'optique de grandir et d'apprendre de ce monde. Après un peu plus d'un an à voyager de région en région, tu finis par t'établir au Harad, à Lasfaï où une famille de petite noblesse t'accueillit à bras ouvert. Après quelques semaines à apprendre de nouvelles techniques de combat propre aux habitants de cette région, ton souhait le plus cher était de tente ta chance dans les arènes de la ville. Une étrange coutume qui semble-t-il est peu prisé par les étrangers, mais dont tu trouvais le spectacle intéressant. Combattre à mort devant un public en liesse, vivre ou mourir dans un simple spectacle... De toute façon, un bâtard de moins qu'est-ce que ça changerait. Malgré la réticence de tes hôtes, tu te lanças dans ton premier combat dans l'arène et le remporta de justesse. À peine remis, tu recommenças encore et encore, jusqu'au jour où tu deviens une figure de l'arène. Alors que la foule scandait : le bâtard, ce nom synonyme de ta plus grande honte devint ta fierté. Tu l'avais juré, tu l'as fait, ce nom il t'appartient. Vient alors ton vingt-cinquième anniversaire et après un dernier combat d'adieu à Lasafai, tu repris la route du Rohan avec la gloire de l'arène et les rémunérations qui allaient avec. Le jeune garçon, qui ne s'affirmait pas devant ses frères, avait disparu, revenait un homme endurci et sans aucune crainte de la vue du sang. Ta réputation durement gagné t'avait ainsi précédée et si le gouverneur te souffla tout de même dans les oreilles, il n'en était pas moins fier de l'homme revenu. Ainsi, il te nomma capitaine de sa garde personnelle, un privilège mérité, après tout qui mieux qu'un ancien combattant de l'arène pour protéger un gouverneur. Du Harad, tu avais ramené un étalon typique de la région, avec autorisation ce dernier s'accoupla avec une poulinière du Rohan de la meilleure lignée. Quelques temps après venait au monde un poulain à la robe baie alliant le meilleur de ces deux races : Brego.


Chapitre cinquième:

And life goes on...

La vie reprit son cours où tu l'avais laissée cinq années plus tôt, entre le dressage de ton poulain, les coups foireux avec Théodred, quelques apprentissages secrets avec Eohild et ta charge de capitaine de la garde. Certains vices acquis lors de ton séjour dans les régions du sud ne disparurent pas, pour le plus grand malheur de ton géniteur. Boisson alcoolisée, fréquentation des bordels, cela fait partie de ta vie désormais. Cette vie, tu as réussi à la pimenter en faisant intégré Ethelfay dans la garde du gouverneur. Cette amie de longue date avec laquelle tu t'es souvent entraîné, tu sais que c'est une valeur sûre et quelque part, tu dois bien ça à son défunt frère et regretté ami. La vie te semble parfois monotone et monocorde, car durant ces sept dernières années rien de véritablement intéressant n'est arrivé, si ce n'est la pseudo réconciliation entre ton aîné et ta cadette. Et pourtant, en cette année 1099 du quatrième âge, les choses pourraient bien basculer pour le meilleur ou pour le pire. D'abord, cette annonce qui te fit rire dans ta barbe, les fiançailles de Théodred avec Lanasica Bahron. Même si l'héritier semble plutôt bien le prendre, toi, en revanche connaissant le caractère des gens du nord et des Bahron en particulier suite à tes voyages, tu es plus réservé. Le caractère indomptable de Théodred pourrait faire merveille avec sa future épouse assez semblable, mais pour cela ce dernier devrait faire des concessions, dont tu es sûr qu'il n'est pas prêt à faire. Enfin, tant que tu ne dois pas jouer au diplomate, peu te chaux. L'autre grand évènement est plus secret et quelque part plus dangereux. Une soirée normale de garde, Eohild te prit à parti pour te demander aide et conseil. Son amie, Danaelle Cevenna, - une insupportable emmerdeuse à te yeux ceci dit - a décidé de fuir son mariage, sa famille et sa patrie. Aimante et protectrice, c'est assez naturellement qu'Eohild proposa à la fugueuse de venir se terrer au Rohan. Mauvaise idée, mais en grand-frère aimant et défenseur des causes perdues, tu acceptas, allant même jusqu'à proposer d'intercepter la jeune fille toi-même à son arrivée. Que dire, que faire... tu sais avoir l'oreille de l'aîné, mais serait-il prêt lui à prendre ce risque également ? Tu en doutes, puisque lui c'est résigné si aisément à son mariage. Cependant, il a accueilli l'héritier du trône en exil, ne pourrait-il pas avoir la même clémence pour la jeune fille ? Le problème... c'est une Cevenna.
   
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